– Par Katherine Sullivan –
Cet artiste au patronyme original est passé du folk au rock d’un album à l’autre, tout en accumulant les collaborations musicales. Cependant, c’est dans Démon vert qu’il revient aux sources avec l’accompagnement doux et épuré, mettant de côté l’aspect plus rock de son album Toots MacBeth et revenant aux douceurs du folk. La guitare ne fait qu’effleurer les tympans à l’écoute des morceaux doux et nostalgiques. L’esprit de cet album est plutôt introverti et intime, on semble y découvrir l’auteur-compositeur.
On aime: le changement de tempo de Angélique, suite à quelques chansons plus calmes.
On aime moins: les longs solos d’harmonica dans Coucher a’c la lune.