– Par Capitaine Mollusque –
Un vent chaud souffle sur les dunes
Et vient perturber, du sable, le repos
Sous le regard impassible de la lune
Pourissent les carcasses de chameaux
En ces terres désolées d’Orient
Royaume des scorpions et des cobras
Le jour se lève, un soleil rougeoyant
Et à l’aube, tu le sous-estimeras
Déterminé, sur sa fière monture
Il te fera regretter ton orgueil
Son cimeterre sera souillé de vermeil
Aux vautours, tu seras laissé en pâture
Et le digne cavalier pousuivra son périple
Tempêtes de sables et traîtres oasis
Et pourtant, le désert nous envoie son fils
Adam Gilani est parmi nous, qui sera son disciple?