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Arts et culture

Critique de spectacle | Dark Eyes de Half Moon Run

_MG_0034– Par Léa Papineau Robichaud –

Les quatre musiciens de Half Moon Run ont entièrement conquis la salle Odyssée qui était remplie à pleine capacité vendredi dernier.

L’un est assis devant son clavier avec la guitare en bandoulière et un deuxième clavier tout près de lui, un autre est debout devant un clavier et à proximité de différents tambours et percussions, celui qui est considéré comme le joueur de batterie a un clavier d’installé sur sa grosse caisse et finalement le chanteur joue de la guitare, en plus de percussions dans certaines chansons. Chacun est en parfait contrôle de ses instruments et de sa voix.

Le groupe canadien a commencé avec 21 Gun Salute pour ensuite enchaîner avec une version de Nerve plus rapide et rythmée que sur leur opus, ce qui donnait une terrible envie de suivre Conner Molander, qui se déhanchait derrière son clavier.

C’est pourtant à la cinquième chanson que la foule s’est endiablée. Il a suffi que le groupe joue les premières notes de Call Me in the Afternoon pour que la salle entière se lève, danse et tape des mains. Leur reste du spectacle s’est déroulé debout.

Half Moon Run a offert un spectacle à la hauteur des attentes, offrant de superbes harmonies de voix. Les quatre musiciens ont su impressionner avec leurs talents multiples et avec leur présence énergique sur scène. Dylan Philips était flamboyant derrière sa batterie. Il jouait une mélodie sur le clavier placé devant lui d’une main et de l’autre frappait sur ses cymbales et ses tambours passant au-dessus et au-dessous de son bras occupé sur l’autre instrument. De son côté, Devon Portielje contrôlait sa voix à merveille, charmant ainsi les spectateurs de tout âge présents dans la salle.

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