
Ressources pour les femmes sur le campus : Tour d’horizon des organisations féministes
Actualités
Par Nicolas Hubert – Journaliste
Centre de ressources des femmes (WRCRF)
Situé au local 220 du Centre universitaire, le WRCRF est un espace d’accueil au sein duquel les étudiantes peuvent trouver autant un soutien humain que matériel. Formé de quatre employées et de plus de 25 bénévoles, le WRCRF offre notamment de l’information sur la santé sexuelle, les enjeux de contraception ou encore la violence faite aux femmes.
Papothé
Cette initiative dirigée par Marie-Eveline Belinga et Valérie Masumbuko, doctorantes à l’Institut d’études féministes et de genre et associée au WRCRF, vise à créer un espace francophone de discussions et d’échanges pour les femmes racisées en milieu universitaire. En se basant sur des expériences vécues, cette initiative organise une série de rencontres et de discussions thématiques.
FemAnVi
Situé au 12030 du pavillon de la Faculté des sciences sociales, le collectif de recherche Féministe Anti-Violence (FemAnVi) veut regrouper les recherches sur les violences faites aux femmes tout en créant un espace de rencontre à même de mobiliser les différent.e.s intervenant.e.s impliqué.e.s dans la lutte contre la violence genrée. Le collectif organise de nombreux évènements afin de favoriser la diffusion du savoir et la création de liens entre les différentes personnes impliquées sur ces enjeux.
#LeDroitABesoinDuFéminismeCar (#DBFC)
L’Université d’Ottawa fait également partie de ce mouvement national fondé à l’Université McGill dont l’objectif est de favoriser la collaboration entre les actrices féministes des Facultés de droit civil et de Common Law. #DBFC organise plusieurs évènements dans la perspective de créer une plateforme de discussion sur le rôle des femmes dans le milieu juridique.
Parce que je suis une fille
Parce que je suis une fille est une initiative de la branche canadienne de l’ONG Plan international. Elle se consacre à la sensibilisation de la vulnérabilité des filles au sein des régions les plus pauvres de la planète. Les personnes impliquées sur le campus organisent plusieurs évènements afin de mobiliser la communauté universitaire et de générer un mouvement social consacré aux inégalités genrées dont sont victimes les filles à travers le monde, notamment en ce qui concerne l’éducation.