Revue de presse
Par Frédérique Mazerolle
Les parents étudiants frustrés par l’inaction de l’Université Laval
Impact Campus, Université Laval
Suite aux recommandations d’un rapport publié le 24 septembre dernier lors du World Café, l’Association des parents-étudiants de l’Université Laval (APÉTUL) demande à l’administration de l’institution universitaire de se doter d’une politique afin de reconnaitre les parents étudiants. Celle-ci devra promettre aux parents étudiants la reconnaissance de leur situation et des cas particuliers qu’elle entraine, par exemple le fait de rater un cours pour prendre soin de leur enfant. Selon la présidente de l’APÉTUL, Isabelle Caouette, le problème vient surtout du manque de considération de certaines facultés et/ ou départements quant à la réalité des parents étudiants, d’où le besoin d’une politique concrète.
Un professeur mis à la porte pour avoir eu une liaison amoureuse avec une étudiante
The Ubyssey, Université de la Colombie-Britannique
Par l’entremise d’un communiqué cosigné par son avocat, l’ancien professeur et chef du département de création littéraire de l’Université de la Colombie-Britannique, Steven Galloway, s’est adressé à la communauté universitaire afin de faire le point sur son renvoi suite à des allégations d’agression sexuelle. Celui-ci aurait été forcé de quitter ses fonctions en juin dernier, après avoir été suspendu pendant la durée d’une enquête remontant à novembre 2015. Galloway a longuement critiqué la démarche de l’institution, qui aurait terni sa réputation bien que les plaintes à son égard aient finalement été retirées. Selon la politique de l’Université, une relation entre étudiant.e et professeur.e ne constitue pas un motif de congédiement, d’où ambiguïté du cas du professeur Galloway.
Une fête « raciste » qui fait jaser à l’Université Queen’s
The Queen’s Journal, Université Queen’s
Des photos d’une fête étudiante, appelée Beerfest, où les étudiant.e.s sont invité.e.s à porter des costumes représentant « un pays et/ou une culture », ont fait surface sur les médias sociaux, au plus grand désarroi des étudiant.e.s concerné.e.s. La plupart des individus présents à cette fête portaient des costumes pouvant être considérés comme racistes : moines bouddhistes, ou encore Mexicains portant poncho et menottes. Plusieurs ont accusé les organisateur.trice.s de cette fête de faire la promotion de l’appropriation culturelle. Selon les dires de la population étudiante, le Beerfest serait le produit d’une tradition qui existe depuis quelques années.