Inscrire un terme

Retour
Sports et bien-être

Deux minutes au cachot : Je t'aime, basketball !

Web-Rotonde
25 février 2013

Cher basketball,

Il y a plusieurs semaines que ça me trotte dans la tête et que je cherche les mots pour te le dire. Depuis de très nombreuses semaines, je chantonne toujours pour rien, j’ai des papillons dans le ventre, j’ai les mains moites en pensant à toi et j’ai le cœur qui débat dans ma poitrine lorsque je te vois. Oui basketball, je crois que je suis en train de tomber sous ton charme.

Je t’ai pourtant tellement détesté lorsque j’étais au secondaire. Mon professeur d’éducation physique me mettait ce gros ballon orange entre les mains et me disait de courir avec en le faisant rebondir au sol, et de le lancer dans un tout petit panier beaucoup trop haut pour que j’arrive à l’atteindre facilement du haut de mes cinq pieds et deux pouces. Il faut dire qu’à cette époque, et jusqu’à récemment, je n’avais d’yeux que pour le hockey, notre cher sport national. Heureusement, mon travail a fait en sorte que nous nous rencontrions de nouveau et cette fois, dans un meilleur contexte.

Un soir glacé de janvier, je devais assister à la Classique de la capitale, deux matchs qui opposent les équipes féminines et masculines de basketball des universités d’Ottawa et de Carleton. C’est ce soir là que j’ai craqué pour toi. Tu m’as offert un premier match serré et stratégique, pour ensuite me présenter un deuxième match magistral qui m’a tenu sur le bout de ma chaise tout le reste de la soirée. Cette soirée, je ne l’oublierai jamais. Je ne pouvais faire autrement que de tomber en amour avec toi, cher basketball.

Comment ai-je fais pour me passer de toi pendant tout ce temps? Ces beaux jeux de passes, ces spectaculaires lancers de trois points, ces époustouflants tirs en suspension, ces superbes replis défensifs: tout fait de toi un sport unique et tellement excitant à regarder. Tu es imprévisible. Tout peut arriver dans un de tes matchs et c’est exactement ce que je recherche dans un sport. Je sais que tu n’as pas fini de me surprendre et de m’épater.

Maintenant que je t’ai redécouvert, que tu es entré dans ma vie, je ne peux tout simplement plus me passer de toi.

Je t’aime, basketball!

Celle qui s’est découverte une nouvelle passion,

Léa

Inscrivez-vous à La Rotonde gratuitement !

S'inscrire